Programme

POLITIQUE MIGRATOIRE CENSÉE

Dépôt obligatoire des demandes d'asile dans les ambassades et consulats. Nous instaurerons l'obligation de dépôt des demandes d'asile dans les ambassades et consulats français à l'étranger. Cette mesure permettra de mieux gérer les flux migratoires et d'évaluer les demandes d'asile avant l'arrivée des demandeurs sur le sol français.


Preuve de détention d'un emploi préalable pour les travailleurs étrangers. Nous rendrons obligatoire la preuve de détention d'un emploi préalable à l'arrivée en France pour tout travailleur étranger. Cette mesure favorisera une immigration sélective, assurant que les nouveaux arrivants contribuent immédiatement à l'économie nationale.


Conditionnement des prestations sociales à cinq années de travail en France. L'accès aux prestations sociales non-contributives, comme le RSA, sera conditionné à cinq années de travail en France. Si nécessaire, cette mesure sera mise en œuvre par référendum constitutionnel pour garantir son acceptation démocratique et son application efficace.


Renforcement de Frontex pour lutter contre l'immigration illégale. Nous donnerons à Frontex la capacité opérationnelle et le soutien politique nécessaires pour prévenir, détecter et empêcher l'immigration illégale. Frontex devra également expulser les clandestins d'Europe. L'agence se concentrera sur trois grandes missions : prévenir les flux migratoires irréguliers, détecter les entrées illégales et empêcher ces flux à nos frontières extérieures. Frontex devra devenir une Agence européenne du retour, aidant les États membres à organiser des retours collectifs des personnes en situation irrégulière. Nous porterons ses effectifs de 10 000 à 30 000 agents et la doterons des équipements les plus modernes.


Conditionnalité des relations diplomatiques de l'Union européenne avec les pays tiers. Nous instaurerons un "choc de conditionnalité" dans les relations diplomatiques de l'UE avec les pays tiers. Aucune coopération ne pourra exister sans un accord complet dans le domaine migratoire, incluant la reprise des clandestins par les pays d'origine. Nous utiliserons tous les instruments régaliens (comme les visas), économiques (accès au marché intérieur) et financiers (aide publique au développement) pour contraindre les pays qui ne coopèrent pas avec l'UE dans le domaine migratoire. La règle sera simple : aucune aide au développement et aucun visa pour les pays qui ne signent pas ou n'appliquent pas d'accord de réadmission.


Augmentation du budget des forces de l'ordre. Nous augmenterons le budget alloué aux forces de l'ordre pour lutter plus efficacement contre l'immigration illégale. Ceci permettra de renforcer les moyens matériels et humains, permettant de mieux contrôler les frontières et de lutter contre les réseaux de passeurs.


Notre engagement. Ces mesures visent à gérer l’immigration de manière plus efficace et responsable, à renforcer la sécurité aux frontières et à garantir une application cohérente et équitable des politiques migratoires de la France et de l’Union européenne.

Dépôt obligatoire des demandes d'asile dans les ambassades et consulats. Nous instaurerons l'obligation de dépôt des demandes d'asile dans les ambassades et consulats français à l'étranger. Cette mesure permettra de mieux gérer les flux migratoires et d'évaluer les demandes d'asile avant l'arrivée des demandeurs sur le sol français.


Preuve de détention d'un emploi préalable pour les travailleurs étrangers. Nous rendrons obligatoire la preuve de détention d'un emploi préalable à l'arrivée en France pour tout travailleur étranger. Cette mesure favorisera une immigration sélective, assurant que les nouveaux arrivants contribuent immédiatement à l'économie nationale.


Conditionnement des prestations sociales à cinq années de travail en France. L'accès aux prestations sociales non-contributives, comme le RSA, sera conditionné à cinq années de travail en France. Si nécessaire, cette mesure sera mise en œuvre par référendum constitutionnel pour garantir son acceptation démocratique et son application efficace.


Renforcement de Frontex pour lutter contre l'immigration illégale. Nous donnerons à Frontex la capacité opérationnelle et le soutien politique nécessaires pour prévenir, détecter et empêcher l'immigration illégale. Frontex devra également expulser les clandestins d'Europe. L'agence se concentrera sur trois grandes missions : prévenir les flux migratoires irréguliers, détecter les entrées illégales et empêcher ces flux à nos frontières extérieures. Frontex devra devenir une Agence européenne du retour, aidant les États membres à organiser des retours collectifs des personnes en situation irrégulière. Nous porterons ses effectifs de 10 000 à 30 000 agents et la doterons des équipements les plus modernes.


Conditionnalité des relations diplomatiques de l'Union européenne avec les pays tiers. Nous instaurerons un "choc de conditionnalité" dans les relations diplomatiques de l'UE avec les pays tiers. Aucune coopération ne pourra exister sans un accord complet dans le domaine migratoire, incluant la reprise des clandestins par les pays d'origine. Nous utiliserons tous les instruments régaliens (comme les visas), économiques (accès au marché intérieur) et financiers (aide publique au développement) pour contraindre les pays qui ne coopèrent pas avec l'UE dans le domaine migratoire. La règle sera simple : aucune aide au développement et aucun visa pour les pays qui ne signent pas ou n'appliquent pas d'accord de réadmission.


Augmentation du budget des forces de l'ordre. Nous augmenterons le budget alloué aux forces de l'ordre pour lutter plus efficacement contre l'immigration illégale. Ceci permettra de renforcer les moyens matériels et humains, permettant de mieux contrôler les frontières et de lutter contre les réseaux de passeurs.


Notre engagement. Ces mesures visent à gérer l’immigration de manière plus efficace et responsable, à renforcer la sécurité aux frontières et à garantir une application cohérente et équitable des politiques migratoires de la France et de l’Union européenne.

Dépôt obligatoire des demandes d'asile dans les ambassades et consulats. Nous instaurerons l'obligation de dépôt des demandes d'asile dans les ambassades et consulats français à l'étranger. Cette mesure permettra de mieux gérer les flux migratoires et d'évaluer les demandes d'asile avant l'arrivée des demandeurs sur le sol français.


Preuve de détention d'un emploi préalable pour les travailleurs étrangers. Nous rendrons obligatoire la preuve de détention d'un emploi préalable à l'arrivée en France pour tout travailleur étranger. Cette mesure favorisera une immigration sélective, assurant que les nouveaux arrivants contribuent immédiatement à l'économie nationale.


Conditionnement des prestations sociales à cinq années de travail en France. L'accès aux prestations sociales non-contributives, comme le RSA, sera conditionné à cinq années de travail en France. Si nécessaire, cette mesure sera mise en œuvre par référendum constitutionnel pour garantir son acceptation démocratique et son application efficace.


Renforcement de Frontex pour lutter contre l'immigration illégale. Nous donnerons à Frontex la capacité opérationnelle et le soutien politique nécessaires pour prévenir, détecter et empêcher l'immigration illégale. Frontex devra également expulser les clandestins d'Europe. L'agence se concentrera sur trois grandes missions : prévenir les flux migratoires irréguliers, détecter les entrées illégales et empêcher ces flux à nos frontières extérieures. Frontex devra devenir une Agence européenne du retour, aidant les États membres à organiser des retours collectifs des personnes en situation irrégulière. Nous porterons ses effectifs de 10 000 à 30 000 agents et la doterons des équipements les plus modernes.


Conditionnalité des relations diplomatiques de l'Union européenne avec les pays tiers. Nous instaurerons un "choc de conditionnalité" dans les relations diplomatiques de l'UE avec les pays tiers. Aucune coopération ne pourra exister sans un accord complet dans le domaine migratoire, incluant la reprise des clandestins par les pays d'origine. Nous utiliserons tous les instruments régaliens (comme les visas), économiques (accès au marché intérieur) et financiers (aide publique au développement) pour contraindre les pays qui ne coopèrent pas avec l'UE dans le domaine migratoire. La règle sera simple : aucune aide au développement et aucun visa pour les pays qui ne signent pas ou n'appliquent pas d'accord de réadmission.


Augmentation du budget des forces de l'ordre. Nous augmenterons le budget alloué aux forces de l'ordre pour lutter plus efficacement contre l'immigration illégale. Ceci permettra de renforcer les moyens matériels et humains, permettant de mieux contrôler les frontières et de lutter contre les réseaux de passeurs.


Notre engagement. Ces mesures visent à gérer l’immigration de manière plus efficace et responsable, à renforcer la sécurité aux frontières et à garantir une application cohérente et équitable des politiques migratoires de la France et de l’Union européenne.

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